Petite pause hivernale.
Reprise des hostilités en janvier.
Je vous souhaite à toutes et tous d'heureuses fêtes de fin d'année.
Lucas
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Un arbre dans les Capucins. Illustration sans aucun rapport avec le reste. |
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Rue du 4 septembre, Thouars. |
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Un renard sur un arbre perché, du côté de l'ancien ETAMAT. |
Maitre Corbeau sur un arbre perché, tenait dans son bec un fromageMaitre Renard par l'odeur alléché en avait marre des bavardagesA quoi bon parlementer quand il suffit de croquer ?
N'écoutant que son ventre affamé, le renard grimpe dans l'arbre
Et sans palabres engloutit le corbeau, le fromage,
Le ramage, le plumage.
Point de morale à cette histoire mais un estomac rassasié,
Et un renard qui s'accorde une sieste bien méritée.
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Thouars (short rouge) contre Thouars (short rouge). Photo USP basket fan (sa) |
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Prix de Thouars 2013, Vincennes. Photo canalturf.com (sa) |
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image Philippe Chauveau (sa) |
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image Alain Dumont (sa) |
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image NR (sa) |
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Le rond-point de la route de Namur mais juste à côté de ladite route. hervejamar.wordpress.com (sa) |
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Photo du compte Facebook de Hevé Jamar (sa) |
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le 23 octobre |
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Pied de tomates sur tomate, le 12 novembre |
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Autopsie pratiquée sur une tomate le 14 octobre, un mois après achat. De nombreux germes apparaissaient déjà. |
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le 12 novembre, ça commence à flétrir. |
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un mois plus tôt, le 14 octobre. |
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le 14 octobre |
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le 23 octobre |
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le 29 octobre |
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Portrait de Gabrielle de Bourbon vers 1491 |
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La Nef des fous, de Jérôme Bosh, tableau qui se trouve être daté de 1491 et qui forme comme un contraste amusant avec le précédent. |
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Un bouc qui fume. |
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La place St-Médard, lieu des exécutions publiques. Dessin de E.Breillat (sa) |
"d'avoir plusieurs et souventes fois commis et perpétré actes de sodomie détestable avec la vache noire mentionnée au présent procès criminel (ndr : la vache appartenait à un dénommé Robert Fortin).
En conséquence ladite Cour ordonne que Collas Hilaire sera conduit dans un tombereau jusqu'à la potence qui sera pour cet effet dressée sur le marché en place publique de Thouars et que lorsqu'il sera monté au haut de l'échelle appuyée sur la potence : la vache sera assommée, et ensuite son corps brûlé dans un feu qui sera allumé auprès : ceci fait ledit Collas Hilaire sera pendu à la potence ; et ensuite son corps brûlé avec le même feu où ladite vache aura été consumée : et leurs cendres jetées au vent."
Source : Procès faits à divers sodomites jugés au Parlement de Paris, tome I, p. 162-164
(orthographe modifiée pour une meilleure lecture)
Esquisse du projet pour l'édification d'un monument à la mémoire de la vache noire à Fortin. |
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Place Saint-Médard. Départ du ballon "La Brise", 1901. |
SUPPLICES EN PLACE SAINT-MEDARD
Nul n'ignore que sous l'ancien régime toutes les horreurs que comportaient les supplices en usage, du fouet à la décapitation, se passaient en plein jour, sur la place publique, devant une populace plus cruelle souvent que le législateur.
Thouars, en conséquence de deux arrêts successifs du Parlement de Paris, certains jours eut le triste privilège de jouir d'un tel spectacle. Et si nous en parlons ici, c'est que la place Saint-Médard fut choisie comme lieu d'expiation.
C'est ainsi qu'en 1782 le bourreau mutila le poignet à une femme nommée Jacquelie Demeurant, accusée d'avoir empoisonné son mari. La victime fut ensuite brûlée vive — toujours en place Saint-Médard.
En 1784, après un vol de bijouterie commis dans un magasin de la rue Saint-Médard (à ce moment rue des Orfèvres), les nommés Piault, Philiponnet et Méneroux avaient été détenus dans l'une des tours de la Porte-aux-Prévôts, laquelle servait alors communément de prison. Une certaine nuit de décembre, les trois malandrins assassinèrent leur geôlier et sa femme. Seul, cependant, Piault réussit à s'échapper par une fenêtre. Les deux autres criminels se firent « prendre » avant que d'avoir eu le temps de fuir... Et c'est à la suite de ce meurtre que Philiponnet et Méneroux furent condamnés à être roués vifs.
Le supplice eut lieu devant le porche de l'église Saint-Médard. Le bourreau étendit les membres de chacun des patients sur les quatre bras d'une croix de saint André. Puis, avec une barre de fer, il leur brisa les os des avant-bras, des jambes, des cuisses et des reins. Après quoi les « rompus » furent, exposés, jusqu'à putréfaction, sur une roue de charrette à la Croix-des-Piliers (route de Poitiers).Source : L'église Saint-Médard de Thouars, par Auguste Nayel et Henri Bodin, 1902, p. 66-67.
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La place Saint-Médard en 1825. Extrait du cadastre napoléonien. |
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Physalis alkekengi, autrement appelés "amour-en-cage". |
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Au pays thouarsais n°9, carte postale ancienne |
Au pays de Thouars, carte postale ancienne |
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Document CCT. |
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Copie d'écran du site Ebay. |
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Une empreinte dans le ciment, rue Du Guesclin. |
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Une sorcière qu'on torture pour voir ce qu'elle a dans le ventre. Dessin de M. Van Maele (sa) |