samedi 29 mars 2014

EXCLU : Un attentat au Salon des Vins

Hier, la fête s'est vu entachée par une odieuse agression ; ce n'est pas moins que le blason de Thouars (lequel reprend en réalité les armoiries des seigneurs de Thouars, rappelons-le) qui a été sauvagement punaisé d'une affichette, pile dans le "franc quartier de gueules".



L'écriteau en question mentionne qu'il existe un autre blason de Thouars, officieux celui-là, "D'argent à 3 grappes de raisin d'azur", ce qui prend tout son sens au Salon des Vins, soit dit en passant. Le document n'étant pas signé, nous ne savons rien du groupe d'activistes qui a perpétré cet attentat et, en l'absence de revendications claires, il faut se résoudre à penser que c'était là un acte seulement gratuit.

Reproduction de l'affichette. Cliquer ici pour voir l'image en grand.


vendredi 28 mars 2014

La tête à l'envers

Le Salon des Vins et Terroirs ouvre ses portes aujourd'hui à 14h, à l'Orangerie. A ce propos, un lecteur nous envoie une photo évocatrice ainsi que l'explication qui va avec : "Le colleur d’affiche avait sans doute déjà abusé de la dive bouteille." 


3 € l'entrée (avec un verre de dégustation et un bec verseur anti-goutte offerts). Et sitôt passé l'entrée, c'est tout un monde de dégustation qui s'offre à vous.

- vendredi 14h - 20h
- samedi 10h - 19h
- dimanche 10h-19h
 

La carte n'est pas le territoire

extrait de la carte interactive
de Thouars.
Ce qui suit est une histoire vraie puisque je l'ai inventée de toutes pièces.

Hier, j'ai rencontré un couple de hollandais desséchés qui errait dans la rue Jules-Michelet "depuis l'été dernier", m'ont-ils dit - leurs sandalettes étaient toute craquelées, leurs sacs à dos aussi, et leur imperturbable patience commençait à s'émousser.

Ils m'ont alors raconté qu'ils cherchaient désespérément un monument historique. "Il n'y en a pas ici", leur ai-je répondu, mais ils m'assuraient du contraire, smartphone à l'appui. Et en effet, ils avaient raison. Sur la carte interactive que propose le site Internet de la com'com, il y a bel et bien un monument historique dans la rue Jules-Michelet (voir ci-contre). Je réfléchissais : peut-être Saint-Charles mais c'est privé, ou bien cette voie piétonne claudicante dont l'absurdité confine au génie, mais de là à vouloir la faire visiter aux touristes... Non, décidément, je ne voyais pas.

Et vous, chers lecteurs, saurez-vous deviner de quel monument il s'agit ? 

La réponse se trouve là :
http://www.thouars-communaute.fr/kitmap/
(cocher "monuments" dans le menu de gauche
et chercher la rue Jules-Michelet)


mercredi 26 mars 2014

Esprit mal placé, es-tu là ?


Grille du square Franklin-Roosevelt.
Mais il aurait peut-être fallu se retenir de le remarquer.


mardi 25 mars 2014

Thouars, ville verdâtre

L'aile Sud du château a été rénovée il y a peu. C'est beau comme tout, à l'exception toutefois d'une gouttière visiblement obstruée et qui laisse s'étaler des coulures verdâtres sur la façade au risque de dégrader cette dernière à vitesse grand V et ainsi mettre en l'air des travaux pourtant joliment réalisés.

façade du pavillon sud du château.

Avis aux entreprises locales, vous pouvez d'ores et déjà déposer vos offres de service car la ville de Thouars ne devrait pas tarder à lancer un appel d'offres pour ce chantier, lequel pourrait se formuler ainsi :    

Descriptif du marché :

THOUARS

Débouchage d'une gouttière.

Maître d’ouvrage : Commune de Thouars, 1, place Saint Laon, 1er étage, au fond du couloir, à gauche.
Critères d’attribution : Pas trop cher parce que ça nous a déjà couté une blinde ce chantier.
Objet du marché : Déboucher la gouttière et nettoyer les murs du pavillon Sud du château, s'il vous plaît.
Durée du marché - Début et fin de travaux : Le plus vite possible, ça urge.



dimanche 23 mars 2014

À lire

Par hasard ou par miracle, La petite bibliothèque de la rue du Jeu de Paume se voit désormais équipée d'une étagère. C'est bien, c'est mieux.


A lire, en ce moment :

  • Les Chouans, de Honoré de Balzac (un bouquin qui doit parler de Thouars à un moment ou un autre)
  • Le Totem du Loup, de Jiang Rong.
  • Lord Jim, de Conrad
  • Knock, de Jules Romains
  • L'automne à Pékin, de Boris Vian (qui est un super roman)
  • L'attrape-coeurs, de J.D Salinger
  • Opium, de Maxence Fermine

Ps : Vous trouvez désormais dans la colonne de droite du blog un lien vers une page dédiée à la petite bibliothèque, laquelle sera mise à jour régulièrement.

vendredi 21 mars 2014

Sens civique

Est-ce la campagne électorale qui donne des ailes ? Toujours est-il qu'on a subitement envie de participer activement à la vie de la commune, et il semble qu'elle ait toujours besoin d'un coup de main.

Bd Bergeon.
Devant la médiathèque, les services techniques sont visiblement confrontés à un problème qui se formule ainsi :
"6 x 3,3"

Ça fait 18,18 !

Voilà, ne me remerciez pas, c'est cadeau, j'aime rendre service. 


Rue Jules Michelet en revanche, je partage la stupéfaction des agents ; désolé, je n'ai pas réponse à tout non plus. 

rue Jules Michelet.


jeudi 20 mars 2014

Auto-partage

Dans la même veine que précédemment (Une autre façon de se tenir, La petite bibliothèque de la rue du Jeu de Paume), un service d'auto-partage de roues de voiture ? 

Passage à niveau de la gare. Photo envoyée par Thomas. Merci.


Une autre façon de se tenir

Après "La petite bibliothèque de la rue du Jeu de Paume" (cf article ici) où l'on s'échange des livres, celle du Café des Arts qui fonctionne sur le même principe, et celle encore de Porte Ouverte Emploi au centre Anne Desrays, voici un autre concept croisé dans la rue, mardi dernier. Visiblement, il n'y avait qu'à se servir.

des DVD's en exposition sur une margelle.

Mais qu'est-ce qui se passe à Thouars ?

Les rues ne seraient-elles donc plus cette chose froide et communale, dévouée au j'm'en-foutisme des détritus et des crottes de chien. On aurait compris que la rue est le premier des espaces communs, un endroit où l'on vit ensemble et que c'est un bien précieux, qu'il faut le respecter autant qu'on s'y respecte les uns les autres. A ce rythme-là, il n'est pas loin le jour où l'on verra les riverains sortir de chez eux, la binoche à la main, pour enlever les mauvaise herbes eux-mêmes plutôt que d'attendre le passage toujours trop tardif des cantonniers en hurlant chaque jour un peu plus aux impôts foutus en l'air. Couillons, va ! La rue n'appartient pas à la commune, elle NOUS appartient. On a le droit de s'en occuper, et même de l'animer, plutôt que de l'épier bêtement, le nez collé au carreau de la fenêtre. 

Tiens, ça me rappelle un chapitre de "Les monstres vont passer", lequel commence ainsi : 
Ici, il est sûr qu'on est, dehors, partout un peu chez soi. Les gens sont accueillants, dans l'ensemble. Les bonjours ne manquent pas, au passage dans les rues, même de voix qu'on n'a jamais entendues de sa vie. Certains poussent le vice de l'amabilité jusqu'à installer des salons devant leur porte pour que le promeneur puisse s'y installer. [la suite ici]

Et pour ceux que la lecture rebuterait (il n'y a pourtant qu'un paragraphe), l'auteur en fait une lecture qu'on dira... singulière : http://monstresvontpasser.free.fr/big/12.mp3
    

mercredi 19 mars 2014

Du grand spectacle

C'est le Père Cent !!!

Pensez à emporter avec vous quelques menues monnaies et réservez vos plus belles pièces pour les grands malades du feu des Champignons, ils sont extras. Mention spéciale également pour "Kinder Surprise" et "Stand de fête foraine" qui sont adorables.

Aux feux des Champignons, très très tôt ce matin.
nb : toujours aussi difficile de prendre une photo nette d'un Marsupilami.

Exploration urbaine


rue Waldek-Rousseau, photo Google Street View.
Le laid est-il beau ? Par définition non, mais il peut le devenir, il suffit d'un rien parfois, d'un regard, celui d'un photographe par exemple. Ça tombe bien, Pushoumup - c'est son nom - est photographe et il se plaît à visiter et revisiter les friches urbaines. Il se trouve qu'il a fait un tour dans cet entrepôt désaffecté de la rue Waldek-Rousseau, et voilà le travail :   

Lonely flower
"Lonely Flower"

Abandoned factory
"Abandoned factory"

La colorisation n'est pas là pour égayer la misère des lieux, elle la révèle. Un peu de vert pour un brin de vie qui résiste à la désolation ou des couleurs vives mais qui sont celles d'une lumière qui vient d'ailleurs, forcément d'ailleurs. Et puis parfois la tragédie de la misère s'impose d'elle-même : une palette, un sommier miteux - il y a eu des gens pour dormir ici, pour y vivre peut-être, pour y survivre plus sûrement. 

Wake up
"Wake up"


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L'ensemble de la galerie photo publiée par Pushoumup sur Flick'R : Urbex 


mardi 18 mars 2014

Une idée boiteuse

Un voie piétonnière à cheval sur le trottoir, quelle drôle d'idée !

Rue Jules Michelet.

Le nombre de personnes ayant une jambe plus courte que l'autre étant très faible dans notre ville, on s'interroge sur la pertinence de cet aménagement réalisé il y a peu par la municipalité. Du coup, les théories les plus folles circulent, des rumeurs enflent, ça prend de l'ampleur, ça déborde de partout, c'est insoutenable. Dans tout ce brouhaha, une explication se dégage et semble faire consensus : il s'agirait d'un piège pour attirer le dahut, cet animal mythique qui a les pattes plus courtes d'un côté que de l'autre, ce qui lui permet de marcher aisément à flanc de coteau et donc, par extension, à flanc de trottoir. (*)
 
Croquis représentant un dahut. (sa)

Toutefois, que les thouarsais se rassurent, la municipalité devrait bientôt organiser une distribution de talonnettes (une seule par personne) afin que chacun puisse utiliser comme ce doit le trottoir de la rue Jules Michelet.


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(*) Il faut noter qu'une chasse au dahut est organisée chaque année à Mauzé-Thouarsais, le samedi 31 mai 2014 pour la prochaine édition, mais j'ignore s'ils ont pensé à utiliser ce type de piège.

vendredi 14 mars 2014

La petite bibliothèque de la rue du Jeu de Paume

petite bibliothèque
en auto-partage, à Sarlat
Balthazar Forcalquier, fieffé blogueur thouarsais, s'émerveille sur "une librairie libertaire sans chef, sans obligation... Et ça marche. C'est beau !!! ". A lire ici : "Belle idée libertaire".

A cette occasion il invite le futur maire de Thouars à installer une bibliothèque du même acabit et, comme Balthazar n'est pas à un paradoxe près, il attend sagement que son idée soit validée par les instances dirigeantes de la ville. Devançant l’hypothétique inscription au budget 2015 d'un tel projet, un mystérieux inconnu anonyme a créé une bibliothèque à l'angle de la rue du Jeu de Paume et de la rue Saint-Médard. Elle s'appelle "La petite bibliothèque de la rue du Jeu de Paume", son fonctionnement se résume en trois mots :

DONNER / RECEVOIR / PARTAGER


Elle s'offre pour parrain Jules Romains et son célèbre Knock, un texte de théâtre mais une comédie qui se lit très bien et qui donne également à réfléchir. Une merveille !


Il y a aussi un post-it sur le livre, il semble donc qu'on ait le droit de laisser des commentaires ; manquerait plus qu'on se retrouve aux Arts pour en causer et la coupe serait pleine.

Le post-it donne une citation de Knock : "Un homme bien portant est un malade qui s'ignore", et aussi un commentaire formulé comme suit : "Un véritable traité sur la manipulation des esprits. Toujours utile".

Il n'y a pour le moment qu'un livre, un peu esseulé, nul doute que d'autres viendront l'accompagner bientôt.


mercredi 12 mars 2014

Les premiers thouarsais

Il a bien fallu qu'il y ait eu un jour des hommes qui s'installent à Thouars, ils furent les premiers. 

Selon Hugues Imbert, "il devait y avoir à Thouars, si l'on en juge par le grand nombre de caves régnant sous toute la ville, des souterrains-refuges de grandes dimensions. Sur les coteaux qui dominent la rivière, du coté de Saint-Jean, il existe plusieurs grottes, qui ont dû servir d'habitation à l'époque dont nous nous occupons. Les découvertes que nous avons faites en faisant fouiller la plus grande d'entre elles, nommée la cave Mont-savart, sans être fort concluantes, sont cependant d'une certaine importance. Des tessons de poterie excessivement ancienne et des ossements d'animaux trouvés à une très grande profondeur, prouvent que ce lieu a été habité à l'époque anté-historique." 
("Histoire de Thouars", Hugues Imbert, 1870)

La cave Mont-savart est visible de l'orangerie du château, la voici :


Un vieux saint-jeantais se souvient du temps où elle était accessible :
"Le jeudi on montait à la grotte du Mont Savart. On y jouait à cache-cache, la grotte était grande, l’entrée étroite et dedans il y faisait noir. On avait des lampes à pétrole pour y voir plus clair." (ndlr : l'entrée était à cette époque en grande partie obstruée).

Et juste pour le plaisir, laissons-le continuer l'évocation de sa jeunesse : "J’aimais jouer au bord du Thouet, une rivière qui passait dans le village. A la belle saison, on jouait entre copains à se tremper tout habillé. On faisait la petite « guerre » avec les thouarsais avec des bâtons, des pierres, tout ce qui nous tombait sous la main."

Ah, ça a toujours été l'amour fou entre Thouars et ses communes limitrophes !



mardi 11 mars 2014

La menace du dragon

Certains lecteurs se permettent de douter de la véracité des informations présentées sur ce blog. Non seulement c'est injurieux mais encore cela fait fi du profond travail d'enquête et de recoupement auquel je me livre afin de vous apporter une information claire et fiable. Ainsi, il y a peu, j'évoquais "la légende du Toaro", un terrible dragon tapi dans le Thouet et qui nous enquiquine depuis la nuit des temps. A cette occasion une prophétie avait été formulée : 

Le dragon autour
de la Vasque
(cliquer pour agrandir)
"Le lundi 11 juin 2012, la municipalité installa en toute insouciance une réplique miniature de dragon autour de la Vasque. On l'affubla d'un rembourrage de feuilles mortes tout à fait inoffensif, ignorait-on alors le nouvel affront qu'on infligeait au Toaro en se moquant ainsi de lui ? Ce jour-là, dans la soirée, Thouars connut un violent orage. Le tonnerre avait les mêmes intonations que ceux qui avaient causé tant de malheurs par le passé. Des trombes d'eau s'abattirent, faisant des rues des torrents qui filaient vers la rivière en contrebas - Dieu sait ce qu'ils pouvaient charrier! Derrière leurs fenêtres, quelques anciens, sages parmi les sages, frémissaient devant un tel déchainement et le terrible présage qu'il annonçait ; le Toaro était réveillé et il tentait d'attirer à lui son avatar de la Vasque. Ensemble ils pourraient déclencher de nouveaux cataclysmes et enfin abattre ce caillou qui résiste à tout."
http://www.lecafedelaville.fr/2012/06/la-legende-du-toaro.html   
Depuis le dragon de la Vasque a mystérieusement disparu et personne ne s'est soucié de ce qu'il était devenu. La prophétie était pourtant claire : "le Toaro était réveillé et il tentait d'attirer à lui son avatar de la Vasque".

Et voilà qu'on le retrouve aujourd'hui dans les jardins de la mairie, à quelques encablures à peine de la vallée. Il a parcouru un kilomètre sans que personne ne s'en aperçoive. Voilà bien une preuve que ce qui se raconte ici est vrai, mais tout le monde s'en fout, alors il faudra pas venir se plaindre après.




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Toute l'histoire du dragon : http://www.lecafedelaville.fr/search/label/dragon

vendredi 7 mars 2014

Les cariatides

Demain, c'est la journée de la femme et on a bien raison de réserver une journée pour les célébrer. Que deviendraient les balcons si elles n'étaient pas là ? (et d'une seule main en plus)

Thouars, avenue Henri Barbusse.

Les Cariatides à l'entrée
de l'Érechthéion,
sur l'Acropole.
Sce : Harietta71
Misogynie mise à part, Vitruve, un célèbre architecte du Ier siècle avant J-C, avance une hypothèse pour expliquer l'origine du nom "cariatide". Celui-ci viendrait de ce que la ville de Karyes s'étant alliée aux Perses lors de l'invasion, ses habitants furent exterminés par les autres Grecs et leurs femmes réduites en esclavage, et condamnées à porter les plus lourds fardeaux. Cette explication est cependant douteuse, ce motif architectural étant déjà répandu à cette époque (Trésor des Siphniens à Delphes par exemple), et n'est actuellement pas retenue. 

Douteuse sûrement mais cela ressemble à peu près au sort que les hommes ont réservé aux femmes pendant longtemps, et, sous certains aspects, encore aujourd'hui.

mercredi 5 mars 2014

Anita, voyante à Thouars

Qui ne s'est jamais arrêté, intrigué, devant cette plaque de la rue Saugé ?


Mme Irma est morte depuis bien longtemps mais il y a encore aujourd'hui une voyante à cette adresse et qui dit s'appeler Anita.

Il se trouve qu'Anita, voyante extralucide, ne devait pas être bien lunée le jour où elle a renseigné sur un quelconque document administratif (registre du commerce ou autre) son numéro de téléphone car elle s'est plantée et ce mauvais numéro s'est retrouvé repris sur Internet par toutes sortes de répertoires professionnels. L'histoire pourrait s'arrêter là mais le numéro en question, c'est celui de Mamédjo, une sympathique deux-sévrienne qui est depuis harcelée de coups de téléphone, comme elle l'écrit sur son blog : 
"Tous les jours ou presque j'ai un appel angoissé, de dames le plus souvent, qui veulent un rendez vous avec ANITA pour que celle ci leur enlève leur angoisse existentielle (et un peu de sous) avec des bonnes paroles. De guerre lasse j'ai tapé sur internet ANITA VOYANTE à THOUARS et j'ai vu devant mes yeux extasiés apparaître MON numéro de téléphone ...."
Afin d'aider Mamédjo, je suis allé déposer un petit mot dans la boîte aux lettres d'Anita, voyante à Thouars :

Cliquer sur l'image pour l'agrandir :
Entre confrères, on devrait se comprendre.

mardi 4 mars 2014

Avoir l'oeil... encore

Après Flick'R la semaine dernière, un petit tour du côté d'Instagram : 

cliquer sur les noms pour retrouver les photos dans leur contexte d'origine sur Instagram

Clem79100

gillev

Kevin_djrd

Sandrineeb_44



 
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